jeudi 11 novembre 2010

Bref

Oh mon blog aimé, qui naquit voilà déjà 2 ans, et engendra une vague de création de sites similaires dans mes divers et variés réseaux sociaux, imité, jamais égalé, cher terrain de la relative liberté d’expression concédée à de pauvres péquins de mon espèce, qui ne manquera pas d’être violemment reprise dans un futur plus ou moins proche. Cher blog qui tourne à un ou deux commentaires par trimestre, sans fans, sans promesses non plus.



Prévisible, les rares connaissances intéressantes nouées ces dernières années se sont dispersées dans l’Hexagone afin d’assurer leur subsistance, ainsi que moi-même. Les coups de téléphones et sms appelant à un rendez-vous convivial se raréfient, laissant place a de nouveaux réseaux sociaux bien moins fourni en personnalités illustres, celui d’un sport inconnu du public que je pratique sur la Capitale Française notamment. Le site « on va sortir » m’a permis de rencontrer de manière impromptu une demoiselle qui fut ma partenaire d’un soir voilà deux semaines, joie, il faut en profiter, mais jamais s’attacher, l’expérience assimilée. Puis l’inconvénient d’être fils unique, une génitrice qui exerce une pression à distance pour que vous marchiez dans les pas qu’elle a désirée pour vous, voilà qu’elle veut vous voir, alors que lorsque vous logiez en sa demeure elle tenait à vous chasser.

11 novembre, jour férié, je me repose, bien au chaud. Peu de choses à écrire, le début de la fin sans doute. Et qui me lira…