vendredi 1 juillet 2011

Message, 01/07/2011

Plus une ligne publiée depuis plus de 6 mois. Comme une lassitude. Nombre de choses ont bougé mais me revoilà au point de départ. Rien ne se perd tout se transforme. L’espoir succède au désespoir puis le précède une nouvelle fois, cycle sans fin. Même si je désirais de toutes mes forces le contraire, je reste être humain, chair, os et lobs qui me contrôlent. « Une race très ancienne » disait Charles Bronson dans « Il était une fois dans l’Ouest » de Sergio Leone. Dépasser mes envies ? Si je satisfais mes besoins pourquoi les remettrais-je en cause, hormis pour la connaissance de soi ? La souffrance à ceci de positif qu’elle amène à la réflexion sur nos appétits.
Toujours en recherche, toujours à la découvertes des systèmes de contrôle de nos mœurs, Religions, Idéologies , Groupes Sociaux. Le temps de vie de mon corps reste acceptable pour explorer encore ce monde dans de bonnes conditions quelques décennies. A la clairvoyance doit succéder l’aveuglement. A l’aveuglement succédera la clairvoyance. Reste à savoir qui voit, et qui connaît la cécité.



LA CROYANCE C’EST LA SOUMISSION.

A mes potes, perdus de vue ou proches, je ne vous oublie pas.
A ceux qui atterriraient ici par hasard, bonne lecture.
A ceux qui trouvent que j’ai changé, vous avez raison, la vie nous change perpétuellement.
A ceux qui pensent que je reste le même, vous avez également raison, on reste fondamentalement le même.
A mes ennemis, allez vous faire foutre.

jeudi 11 novembre 2010

Bref

Oh mon blog aimé, qui naquit voilà déjà 2 ans, et engendra une vague de création de sites similaires dans mes divers et variés réseaux sociaux, imité, jamais égalé, cher terrain de la relative liberté d’expression concédée à de pauvres péquins de mon espèce, qui ne manquera pas d’être violemment reprise dans un futur plus ou moins proche. Cher blog qui tourne à un ou deux commentaires par trimestre, sans fans, sans promesses non plus.



Prévisible, les rares connaissances intéressantes nouées ces dernières années se sont dispersées dans l’Hexagone afin d’assurer leur subsistance, ainsi que moi-même. Les coups de téléphones et sms appelant à un rendez-vous convivial se raréfient, laissant place a de nouveaux réseaux sociaux bien moins fourni en personnalités illustres, celui d’un sport inconnu du public que je pratique sur la Capitale Française notamment. Le site « on va sortir » m’a permis de rencontrer de manière impromptu une demoiselle qui fut ma partenaire d’un soir voilà deux semaines, joie, il faut en profiter, mais jamais s’attacher, l’expérience assimilée. Puis l’inconvénient d’être fils unique, une génitrice qui exerce une pression à distance pour que vous marchiez dans les pas qu’elle a désirée pour vous, voilà qu’elle veut vous voir, alors que lorsque vous logiez en sa demeure elle tenait à vous chasser.

11 novembre, jour férié, je me repose, bien au chaud. Peu de choses à écrire, le début de la fin sans doute. Et qui me lira…

mardi 17 août 2010

Une bonne leçon de morale !

« Non mais arrête un peu tes conneries avec tes délires sur la Franc-maçonnerie » m’entendis-je répondre avec virulence après avoir déclamé une boutade supplémentaire autour du sujet ce dimanche soir là, des termes qui ponctuèrent certes le week-end entre autres choses depuis la soirée du Vendredi. Je le crois le larron, certes bon compagnon de boisson, se sentait choqué dans la mesure où il s’était fabriqué une idée toute faite de ma propre opinion, de mes « jugements hâtifs » selon ses mots, et de me comparer rapidement à Hitler et Ludendorff. « Rockin’ Squat n’est pas Dieu » me cria t-il en référence au rappeur aux théories complotistes dont je mis le lien de plusieurs productions musicales récemment sur ce blog ainsi que sur un site bien connu des internautes. Oh j’eus pu lui expliquer qu’en réalité je mettais en lien les chansons de ce rappeur non par adhésion complète à ses dires mais par intérêt pour la piste des idées tournant autour du contrôle de l’esprit, reprenant en cela des analyses présentes dans des livres d’Orwell, de Strindberg, de Karl Marx, et d’autres écrivains et philosophes, avec une approche certes fortement contestable, sur le monde moderne. Non que j’arrêtais mon opinion celle-ci s’axait sur la réflexion et la recherche, la vision de plus en plus certaine d’un monde incertains aux tenants et aux aboutissants revenant souvent à la perpétuation de l’espèce, voilà que je m’intéressais même à la Cabale .




Mais l’ami ne l’entendait pas de cette oreille, et si je pense que les 4 bières que nous venions d’avaler après un week-end déjà bien arrosé n’aidèrent pas à poser un débat constructif et sain, ce qui constituait le moins que l’on puisse dire, je le voyais monter en colère et en emportement, lui répondant –tentant de lui répondre- que je ne voyais pas du tout la chose comme il pensait que je la voyais, et que l’on devait pouvoir débattre sans, dès que l’on parlait de la Franc-maçonnerie en terme critique, se faire systématiquement qualifier de Nazi, comme tout critique de l’action de l’Etat d’Israël, je lui demandais donc de ne pas se permettre de me faire la morale ainsi. Que ne me fut pas ma surprise quand je me vis répondre « T’en as besoin qu’on te fasse la morale ! » ….Abasourdi je demandais à mon imbibé acolyte si il ne se prenait pas pour un personnage lumineux et sur-intelligent pour pouvoir prétendre me dicter ce que je devais penser, on me rétorqua le plus sérieusement du monde « Oui bien sûr et d’ailleurs tu prend les autres de haut en mettant des citations ouvert au hasard dans des livres sur Facebook ! »….Bon inutile de répondre que je m’estimais le droit de mettre ou non des citations sur ce site, je fis savoir que je n’avais que faire de ce que pouvais bien penser les autres sur mes citations par une réponse certes vulgaire « J’en ai rien à f.. des autres », et voilà que dans un final époustouflant il prit ma dernière phrase comme une offense et s’en alla claquant la porte !

Rockin Squat n’est en effet pas plus un Dieu qu’un autre, et je ne glorifie ni Rockin Squat qui, le pauvre vieux, délire complètement, ni mon ami aux réaction passionnées débordantes, ni Schopenhauer, ni Jésus, ni Moise, ni Mahomet, ni les Franc maçons, ni Hitler, ni Karl Marx ne seront jamais à mes yeux des Dieux ou les dépositaires de la parole d’un Dieu, et surtout pas les guides de mes mœurs, car je déteste qu’on tente de contrôler mon esprit, oh que cela m’insupporte.
Vous croyez sincèrement que j’aurais besoin, moi, d’un prophète ? Et vous en avez-vous besoin d’un ?

lundi 14 juin 2010

Con plot

Me voilà face à moi-même encore une fois. Je traîne, traîne sur des sites Internet au hasard et tombe sur une chanson d’un rappeur Français que j’adulais auparavant, « Monsieur » Rockin Squat, frère de Vincent Cassel, ex-leader du Groupe « Assassin », tombé totalement dans la théorie du complot et de la conspiration Mondiale. Choc ! Voilà qui me travailla l’esprit, comment ce type qui produisait des morceaux d’une réflexion rare et pertinente d’après moi pouvait-il prétendre, entre autre, que les Rothschild provoquèrent la Commune, la 1ère Guerre Mondiale, créèrent l’URSS, financèrent la montée du Nazisme et la 2nde Guerre Mondiale, qu’il appartenaient au treize familles « Illuminatis » qui dirigeaient le monde (Dont Georges W. Bush), pratiquant le Satanisme, les eseignements de la Kabbala et se servant de la Franc-maçonnerie comme point d’appui.…(Si si il postule bien tout ça..)…Voilà un de ses clips :



Choc ..Choc…Puis je vérifiais, parcourant cette source d’informations fiables que constitue le Web…et je trouvais…que ma solitude et ma désespérance me poussèrent probablement encore à croire à ce type de théories stupides et sans fondements véritables. Eh oui pardonnez donc un homme sans Religion, sans –ou avec peu- de croyances donc sans –ou avec peu- d’espoir. J’utilisais la méthode Zététique.

J'en conclue pour l'instant que si beaucoup de choses sont énoncés sans preuves et relèvent de la spéculation, de l'imagination, de contre-vérités voir du mysticisme ou d’inventions pures et simples, j'en retiens juste ce qui pourrait être logique :
1 - Le Pouvoir des banquiers reposent sur l'argent d'où l'intérêt que le système mondialisé de la finance se répande sur la planète pour eux, que l’argent devienne la base de toute société et de toute façon de penser.
2 – On me rétorquera que TOUT pouvoir repose sur l’argent. Faux, il peut reposer sur la culture, sur la Foi (Cf Le Pouvoir Religieux.)…
DONC : Il est (serait) logique que les banquiers prennent à leur compte des symboles anti-religieux, voir qualifiés de « sataniques » par les croyants (je n’en suis pas), par réaction pour contrôler les Racines du Pouvoir. Il est très important pour eux également que la culture du profit (celle défendue par les banquiers) prenne le pas sur le Catholicisme, le Communisme, l’Islam ou le Nationalisme, afin que leur pouvoir s’asseye sur des bases solides, à l’inverse les dignitaires religieux ont besoins que leur culture se répande, les nationalistes que l’amour envers la nation se répande, etc…mais ces derniers sont à la ramasse face à un pouvoir devenu beaucoup plus puissant qu’eux par sa structure et sa manière de fonctionner, le système bancaire. Ceci dit si Aleister Crowley, quelques groupes type « Skull and Bones » reprennent des rites sataniques, si les Franc-maçons s’inspirèrent du culte de Mithra ou des Templiers, ne voilà là qu’une rébellion face au Christianisme comparable à celle des groupes Metal et Néo-Métal reprenant le symbole 666, rien de bien méchant…

Le pourquoi le comment, si les franc maçons sont réellement impliqués, savoir si les « Illuminatis » existent, ça c’est pour le folklore, et établir des faits précis est parfois une perte de temps.

Et moi pendant ce temps là me direz-vous ? Seul. Mais vivant. Vivant.

lundi 5 avril 2010

Bof...

La fin de cette première semaine du mois d’Avril s’annonçait paisible, envoyé jeudi et vendredi par mon sympathique supérieur hiérarchique en stage à la Préfecture de Nanterre afin d’en apprendre plus sur la Comptabilité quotidienne des Postes Comptables non Centralisateurs, domaine passionnant sur lequel l’administration Kafkaïenne qui m’emploie m’a affecté, une tache rémunérée mensuellement me permettant en échangé d’un temps de travail défini de payer un loyer, un psy, un pharmacien, Internet, des impôts, beaucoup d’alcool, et attendre doucement la mort.
Lors de la pause de midi, bien méritée après une matinée fort peu productive pendant laquelle deux formateurs se consacraient à reproduire des écritures comptables que je connaissais déjà par cœur sur des logiciels scandaleusement non renouvelés depuis les années 70, je rencontrais inopinément un ami de l’Ecole du Trésor Public. Oh joie d’une discussion sur nos souvenirs de beuverie et de drague de jolies demoiselles dans un établissement de débauche Lyonnais ! Ma foi la rencontre se révéla si joyeuse que je l’invitais à boire quelques chopes dans la Capitale du pays du Champagne et des collabos. L’affaire entendue je rentrais heureux vers 15h30 ce vendredi là, quand nos formateurs jugèrent qu’ils préféraient abréger plutôt que de se borner à respecter des horaires que personne ne vérifierait et dont tout le monde se moquait éperdument.



Je le savais, l’ami en question entretenait une relation avec une femme, êtres capables de remettre en cause à tout moment une rencontre viril autour d’une bière, troquant leur corps plus ou moins appétissant contre un dévouement total envers elles. Sortant de la bouche de métro où nous nous donnâmes rendez-vous, oui je les aperçue, elle se trouvait -là, et la déception me gagna quand je compris que la rencontre houblonneuse dans un café se transformait en pompeux dîner dans un restaurant boboïsant Parisien, tenant la chandelle à un couple. L’enfer commençait ici, et seul l’ingestion de médicaments salvateurs et d’une bière bouteille à un prix explosif m’empêcha de me tailler les veines en société. Je lui contais ma dernière aventure amoureuse fort brève avec une collègue, narrée dans les épisodes précédents, la frappe s’organisa de la manière suivante « Ah je sais pourquoi tu n’as pas de copine Kévin, tu dégages quelques chose d’hautain, tu es auto-suffisant et égoïste. », oh mon fair-play pris le pas, d’un sourire je lui répondis « cela me va droit au cœur ».
Je pensais : Oh oui je sais pourquoi la solitude me colle tant, parce que trop de femmes veulent la soumission du mâle, la seule chose que je ne pourrais jamais leur donner…Un dîner à oublier…

lundi 21 décembre 2009

Toujours aigri...

En voix de guérison ? Ou de plus en plus fou ? Plus de lectures, plus le goût, la seule idée d’ouvrir des pages de réflexions et d’espoirs dans les transports en commun de ce cloaque grouillant qu’on appelle Paris provoque un rejet total de la part de mon cortex cérébral vis à vis de toute littérature. Non, non, non, assez…Quelle plus belle preuve du caractère sain de son esprit que de perdre la raison dans la sombre cité des lumières. Mon psychiatre ne me dit rien, il me laisse raconter…blasé, les cas comme moi il les collectionne dans son cabinet.

Une soirée concert qui s’annonçait prometteuse entre boys de 30 ans, un vrai fiasco tournant à la prise de tête pathétique avec moi dépressif au milieu de cette merde. Ma gentillesse me perd, j’invite quatre types dont un se moque de moi toute la soirée, deux piquent leur crise de nerf contre les autres parce que il y’a du bruit après 2h00 du matin comme un couple de retraité, et un s’offusque pour une blague dont il pourrait être l’auteur. Et moi le bon con qui invite tout ces gens croyant faire plaisir…

Vous vous souvenez de la belle de l’épisode « T’es qu’un gamin » ( Cf épisodes du mois d’Avril 2009 »..), l’ai revu, on a bu, j’ai vaincu…pénétration en règle, puis elle me quitte aussi sec (Mais pas aussi sèche.), points communs :dépressive tout comme moi. Puis je revois la Cécile dans mon Pas-de-Calais natal, ex-pseudo copine, me colle, la suit, elle , sa sœur et ses amis dans une boîte minable où nous nous embrassons, puis nous nous quittons sans se revoir ; points communs : paumée dans ce monde tout comme moi. Médicaments tous les jours, séropram et xanax, deux amis fidèles qui viennent accompagner l’alcool, une console de jeux vidéos, junkie des drogues légales.

Demain l’Etat à besoins de moi, deux semaines au guichet le titulaire se trouvant en congés. D’une sympathie exemplaire dans les première heures, j’ai décidé de devenir exécrable, ras-le-bol d’entasser les dossiers à traiter et de s’entendre qualifier de feignants par les contribuables. J’envois bouler tout le monde au guichet, je m’amuse même à défendre mon administration quand elle est indéfendable : MOI « Vous avez les papiers qui prouve que vous avez bien demandé votre mensualisation ? Non ? Haha » LE TYPE « ah mais c’est vous qui vous trompez et c’est moi qui !!! Je suis pas mes comptes et … » MOI « ah ben vous suivez pas votre compte et vous ne réagissez pas depuis plusieurs mois, c’est donc vous le fautif. Il est normal qu’on vous est ponctionné 1000 € en décembre.» HAHAHAHAA…oui je passe au sadisme…
Besoins de gens capables de défendre une administration bec et ongle même quand elle se trouve complètement dans son tort ? Mon recrutement constitue une sacrée opportunité alors pour ma direction ! Je deviens aigri, les gens payent…

mercredi 14 octobre 2009

Spirale..

Comme une spirale. Je pensais surmonter cette épreuve de plus, je me sentais fort, un roc, qui se battit jadis pour défendre bec et ongle sa survie, par lui-même, sans pleurer, en m’acoquinant avec des politiciens magouilleurs, en obtenant des diplômes clefs d’accession à des jobs d’Eté minable, mais qui alimentaient mon compte en banque, calmant ainsi une administration de l’Emploi bien décidée à me mettre à disposition de n’importe quel employeur le plus vite possible. L’image forgé d’un homme dans mon esprit au fil du temps. Un homme qui aimait la convivialité, qui avait séduit une femme puis une autre, peu de conquêtes, mais des objectifs, des objectifs politiques, le pouvoir en visu, un homme. Une fille à mon bras un jour, qui me fait comprendre qu’elle veut que ce soit sérieux, qui me fait comprendre qu’elle veut que je lui exprime mes sentiments. Mais non, un homme ne doit rien dire de ces sentiments là, seul les faibles expriment leurs sentiments. L’idée d’un homme un vrai, le modèle à atteindre, alors je la délaisse, car impitoyable, comme un homme.

Se battre se battre se battre, pour mes objectifs, je le répétais sans cesse, pour oublier ce monde de l’incertitude des sentiments qui m’horripile, un monde rassurant d’objectifs. Se battre, j’obtiens ce concours, un job à vie, lecture, accumulation d’un capital culturel. Santé également, et Sport, prendre des muscles, être fort de corps et d’esprit, un homme.

Etre envoyé loin des siens pour gagner sa vie, pour obtenir une forme d’indépendance, quoique ce mot s’avère risible, la vie, cinq mois dans une école, découverte de la solitude, un monde encore plus hypocrite, quelques moments de convivialité avec des expatriés comme moi, des déceptions sentimentales, mais y résister, continuer à se cultiver, à se politiser, à s’entretenir physiquement. Un homme qui se renforce sans cesse, sans arrêt, que chaque épreuve rend plus fort si il y survit.


Retourner parfois chez soi, voir sa mère finir par le conspuer « Tu es vraiment quelqu’un de très inintéressant au fond .», par refus d’expression de sentiments, pas d’excuses à lui fournir non plus, à personne, mon comportement aimez-le ou quittez-le, un homme, fier, fier. Toujours plus fort, toujours sans considération pour ses opposants. Compte en banque bien garni.
Puis un jour seul, terriblement seul, seul, dans un monde gris, une capitale immonde. Les objectifs s’amenuisent, l’enthousiasme s’effrite, l’age, 31 ans, un homme, qui s’aperçoit, qui s’aperçoit…qu’il n’est pas immortel, que le renforcement connaîtrait des limites…Un homme qui a oublié l’essentiel, malgré moult lectures, de philosophes, un passé affectif désordonné dû à la mort de son père pour ses 2 ans, par une mère et un beau père alcoolique, puis un autre le délaissant, seul son beau-père actuel, ex-militaire, lui sied mais trop tard car l’enfance est achevée. En larmes, en larme seul chez lui, pourtant ça ne pleure pas un homme.

Tentative désespéré de récupérer cette fille et de lui proposer une vie une vraie, évidemment ratée. Peur la nuit, troubles du sommeil, solitude, solitude extrême, idées morbides, éclat en sanglot. En larme chez le médecin, désormais seul dans son appartement il prend du Xanax et du Séropram. Plus le goût ni du sport ni de la lecture Rendez-vous avec un psy lundi.

Il a dû oublier quelque chose d’important, un truc m’a échappé c’est sûr, il faudra s'en remettre, il faudra…